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Etat d'esprit
19 juillet 2008

Burn Deep-purple (1974)

deep_purple_burn Dites moi  ce que  l'on peut trouver dans la discothèque d'un grand fan de Deep-Purple comme moi des disques de Deep Purple pardi!. Cela tombe sous le sens Lapalisse n'aurait pas dit mieux.

Tout comme Machine Head qui fut enregistré en 1972 à Montreux en Suisse. Burn y fut enregistré en novembre 1973 dans la cette ville Helvétique. Il est le premier album de la formation Mark 3 de Deep-Purple. La période dite Mark 2 s'étant terminée avec le départ le Ian Gillan le chanteur lassé des confrontations avec Ritchie Blackmore et celui de Roger Glover le bassiste désirant tenter d'autres expériences. Ils furent donc remplacés par David Coverdale aux chants et Glenn Hughes à la basse.

On peut dire qu'avec cet album certains fans furent déroutés à sa sortie en 1974, trop habitués à la puissance développée par Mark 2 dans les albums Machine Head et In Rock. On peut même dire qu'à cette époque Deep-Purple perdit certains fans. Mais rien ne m'empêche de penser que Burn est un très bon album. D'ailleurs il est le meilleur à mon sens des trois albums si l'on compte l'album live Made in Europe de Deep-Purple Mark 3.

L'album démarre sur les chapeaux de roue avec Burn dans lequel Ritchie Blackmore déverse ses riffs comme du métal en fusion. Ce morceau  c'est l'excellence à l'état pur David Coverdale nous dévoile tout son art appuyé par les chorus de Glenn Hughes quand à Jon Lord et Ian paice ils font entré avec leur instrument Burn dans la légende.

Might just take your life et Sail away rompt avec le style austère de métal lourd développé auparavant par Deep-Purple. le chant et le rythme de cette chanson lui donne une espèce de légèreté qui pourraient les faire danser sur les pistes de danse.

You fool no one avec son intro endiablée des percussion de Ian Paice emmêlé avec la volupté des claviers de Jon Lord nous charme par son énergie.

Quand au calme Mistreated avec la virtuosité de Ritchie Blackmore associée à l'art vocal de David Coverdale n'a rien à envier à l'inoubliable Child in time de l'album In rock.

Bref un album à découvrir pour les plus jeunes d'entre nous ou à redécouvrir pour les autres du fait de sa qualité et de son prix abordable (moins de 7 € un des avantages d' apprécier les vieux groupes). A noter aussi que ce disque a beaucoup compté pour David Coverdale et Ritchie Blackmore qui reprennent régulièrement Mistreaded en concert l'un avec Whitesnake et l'autre avec Rainbow.

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Commentaires
L
J'ai eu la chance de les voir en concert dans une discothèque du pas de calais, cela remonte à quelques années... ;o)) ben vi, cela ne me rajeunit pas, un moment magique, j'ai adoré.<br /> <br /> Bonne soirée Jean Paul.
G
Burn, un album fabuleux et trop longtemps mésestimé.
J
Je suppose comme tu le dis Thierry que Wild Thing dans le souvenir d'avoir vu Deep-Purple à Vienne n'a pas vu qu'il a posté deux fois le même commentaire. Je le comprends, j'a i vécu la même expérience que lui j'en ai de très bons souvenirs comme ci c'était hier.
J
Pour Kurt Cobain je dois t'avouer que je ne savais qu'il faisait parti des rockers lettrés. Par contre, je n'ai jamais douté que le boss en soit un . Il est vrai que Born in the USA possède cette particularité que chacun peut l'interprèter comme il veut l'entendre. Mais il ne faut pas nier l'apect constestataire que Springsteen à voulu donner à cette chanson. Malgrè tout cela n'a pas empêcher Public Enemy de pasticher cette chanson en la transformant en Banned in the USA.
T
Bonjour Jean-Paul, <br /> <br /> 2 commentaires de Wild Thing ;-) Quelle chance il a d'avoir vu le Pourpre deux fois en concert !<br /> Bon dimanche !<br /> Amitiés, <br /> <br /> Thierry
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